Le coaching n’est pas un métier qui permet de retirer des gros profits. Il est une bonne idée, si vous êtes passionné par l’observation des types humains : changer des vies, amender les façons d’être ou d’agir des individus. Quitter un ancien métier pour devenir coach, cela demande aussi des balises techniques et des qualités morales.
Être coach est une mauvaise idée, si le but avoué de la reconversion est la recherche d’un emploi mieux rétribué
Le coaching est un métier de plus en plus populaire. Les gens qui se lancent dans cette carrière ne le font pas dans un esprit mercantile. Il est clair que le métier ne rapporte pas beaucoup, et traverser de longs mois sans aucune offre en vue est une dure réalité qui vous attend. L’immense envie de changer le monde, de donner aux autres les clés pour réussir et d’impulser leur développement personnel est la raison majeure qui anime les spécialistes du coaching. Le métier a pour but de façonner de meilleurs hommes, à travers une gamme de services intégrant tous les domaines de la vie : l’accès à de nouvelles responsabilités, l’élimination du stress, la transition de carrière, le traitement de problèmes psycho-sociaux… Le goût des relations humaines est le premier mobile, l’argent ne vient que dans l’arrière-plan, puisque dans plus de 50% des cas, l’activité est associée à une autre occupation professionnelle.
Être coach est une bonne idée, à condition de suivre une formation solide et de disposer d’une expérience probante
Le coaching est un métier délicat, puisqu’il intervient au niveau psychique et manipule les traits de personnalité des gens. Si vous décidez d’en faire une véritable profession, sortir d’une école de coaching certifiée et reconnue est un must. La détention d’un titre professionnel rassure les clients, en tant que gage de qualité et de balises techniques observables. Toutefois, le diplôme ne saurait être une condition suffisante. L’usage des supports de communication contemporains participerait à l’amélioration de votre visibilité commerciale : le webmarketing, les messages publicitaires en ligne, les réclames… L’expérience est quelque chose qui compte beaucoup : qui pourra prétendre conseiller des chefs d’entreprises ou des dirigeants sans avoir une connaissance pointue du monde du travail ? Le coach se consacre à étudier des morceaux de vie, de caractère ou de sentiments. C’est quelqu’un qui a eu un parcours professionnel orienté sur les sciences sociales comme la formation ou le consulting.
Être coach exige des qualités morales
- Un esprit ouvert, pour la lecture analytique de la situation
- Un sens de l’écoute, détaché de tout jugement de valeur
- Un regard bienveillant, autorisant le droit à l’erreur et l’innovation
- Une grande aisance relationnelle, pour s’adapter à tous les types de personnages
